By the artist SAB !!
Oil ,pastel,ink !
Ein Bier von fass , bitte !!!!!
Une bière pression , s’il vous plaît !!!!
One stout bier, please !!!!!!
A la rentrée, le musée de l'Orangerie à Paris met en lumière une période particulière dans la carrière d'Amedeo Modigliani : les années où Paul Guillaume devient son marchand. L'occasion de découvrir les liens qui ont uni l'artiste et son mécène.
Un an après la grande exposition qui s’est déroulée à la Barnes Foundation (Philadelphie, États-Unis), le musée de l’Orangerie (Paris, Ier arrondissement) rend à son tour hommage à Amedeo Modigliani (1884-1920). Du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024, l’institution présentera « Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand », un événement inédit qui se concentre sur un moment précis de la carrière du peintre et sculpteur : les années où Paul Guillaume (1891-1934) est devenu son marchand. Un siècle après leur rencontre, cette exposition explorera les liens qui unissent l’artiste et son mécène : du soutien du collectionneur à la spécificité des œuvres produites pendant cette période, en passant par leurs passions communes.
Une rencontre qui lance Modigliani sur la scène artistique parisienne
Modigliani arrive à Paris en 1906. Trois ans plus tard, il rencontre Constantin Brancusi (1876-1957) qui l’initie à la sculpture. Jusqu’en 1914, Modigliani s’y consacre presque exclusivement. De 1914 jusqu’à sa mort en 1920, l’artiste renoue avec la peinture et réalise principalement des portraits. En 1914, Paul Guillaume démarre son activité de marchand et découvre l’artiste juif d’origine italienne par l’intermédiaire du poète Max Jacob (1876-1944). Pour l’encourager et le soutenir, le jeune galeriste français lui loue un atelier à Montmartre, achète, vend et collectionne ses œuvres, ce qui fait peu à peu connaître Modigliani dans les cercles artistiques et littéraires de Paris.
En 1915 et 1916, l’artiste réalise plusieurs portraits peints et dessinés de son mécène. Le musée de l’Orangerie, qui conserve aujourd’hui la collection Paul Guillaume qui comprend cinq toiles de Modigliani, détient le premier tableau de cette série de portraits. Intitulée Paul Guillaume, Novo Pilota (1915), l’œuvre montre le jeune marchand de 23 ans en costume, élégant et sûr de lui.
Des portraits de Cocteau, Moïse Kisling, Béatrice Hastings et Jeanne Hébuterne
En tout, plus d’une centaine de toiles, une cinquantaine de dessins et une dizaine de sculptures de Modigliani sont passées entre les mains de Paul Guillaume. « Ce nombre dénote à la fois l’implication du galeriste dans la promotion de l’artiste mais aussi son goût personnel pour ses œuvres, largement présentes sur les murs de ses différents appartements », décrit le musée de l’Orangerie dans un communiqué. Parmi celles-ci, Modigliani a brossé les portraits des figures majeures du Paris de l’époque, telles que Max Jacob, André Rouveyre, Jean Cocteau ou encore Moïse Kisling, mais aussi des modèles inconnus, et d’exceptionnels ensembles de portraits des femmes qui ont partagé la vie de l’artiste, comme l’écrivaine Béatrice Hastings puis la jeune peintre Jeanne Hébuterne, sa dernière compagne et la mère de son enfant.
Avec une sélection d’œuvres emblématiques, les commissaires de l’exposition Cécile Girardeau, conservatrice au musée de l’Orangerie, et Simonetta Fraquelli, historienne de l’art et commissaire de « Modigliani Up Close » à la Fondation Barnes, évoqueront les différentes caractéristiques de ce corpus. À l’aide des écrits de Paul Guillaume, elles exploreront également les liens intimes entre le peintre et son marchand, et notamment leur intérêt commun pour l’art africain, la littérature et la poésie. Enfin, elles mettront en lumière le rôle essentiel du galeriste dans la diffusion de l’œuvre de Modigliani sur le marché de l’art en France et aux États-Unis dans les années 1920, où Paul Guillaume conseille et vend au Dr. Albert C. Barnes, médecin et riche collectionneur, plusieurs œuvres de l’artiste.
Pour compléter l’exposition inédite, le 1er décembre prochain, une journée d’étude sera organisée dans l’auditorium du musée d’Orsay. Thierry Dufrêne, professeur à l’université de Nanterre, Cécilie Champy-Vinas, directrice du musée Zadkine, et Cécile Girardeau échangeront ainsi sur la place de Modigliani dans le marché de l’art parisien, entre 1900 et 1939.
« Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand »
Musée de l’Orangerie
Jardin des Tuileries, Paris 75001 - FRANCE
du 20 septembre 2023 au 15 janvier 2024
Texte Par : ConnaissancedesArts
En avril 2016, des ouvriers du bâtiment de Tomares, une banlieue de Séville, en Espagne, ont fait une découverte fortuite alors qu'ils installaient l'électricité dans le parc public El Zaudín. À l'aide d'une pelleteuse mécanique, ils ont exhumé un remarquable trésor de pièces de monnaie romaines cachées dans 19 grandes amphores en céramique, enterrées à environ un mètre sous terre. Si la pelleteuse a endommagé 10 des amphores, neuf sont restées intactes et scellées. Ce trésor, pesant plus de 600 kilos et contenant plus de 50 000 pièces de bronze de la fin du IIIe et du début du IVe siècle après J.-C., était dissimulé sous des briques et un enduit en céramique !!
Elizabeth Southerden (1846-1933) dragoon Rgt outside Saint-Malo door (Dinan) Britanny , France
Elizabeth Southerden Thompson, later Lady Butler is arguably the greatest British military painter of the nineteenth-century, who in her own words 'never painted for the glory of war, but to portray its pathos and heroism'. She was born in Switzerland and trained at the South Kensington Schools in London and in Florence at the Accademia di Belle Arti. She initially focused on religious subjects but was inspired by the work of Jean Louis Meissonier, in Paris in 1870, to paint battle scenes. The Roll Call, depicting the courage and endurance of Grenadier Guards mustering after an engagement during the Crimean War, gained critical and popular success when it was exhibited at the Royal Academy in 1874. It was fêted by the Royal Family, and her patron Mr Galloway, who had commissioned it, was obliged to surrender the painting to Queen Victoria, where it remains in the Royal Collection.In 1877 she married Colonel William Butler and travelled to the far reaches of the Empire. When her husband, recently honoured with a knighthood and promoted to Brigadier General, was invalided home from his post at Wadi Halfa in 1886, they settled near Dinan in Brittany where To the Front was painted. It is set during the Franco-Prussian War (1870-1) and depicts the French Dragoons heading to the front through the Porte St Malo in Dinan. It is unusual in the artist's oeuvre in its French subject matter and in the inclusion of women and children. Members of the Butler family and household are depicted in the crowd, and the woman in the lower-left corner waving a handkerchief is a self-portrait. Next to her is her daughter Elizabeth, and the two small boys further along the row are her sons Patrick and Richard. The picture was completed at the family's home in Wicklow, Ireland. Following her husband's knighthood in 1886 this was the first work she exhibited at the Royal Academy as Lady Butler. Il s'agit du 24e régiment de Dragons. Cette artiste a vécu aux Réhories à Dinan. Diane Monier Moore parle de ce tableau dans son livre " Dinan the English colony 1800 1940 Dinan la colonie anglais" pages 413 414 415.
Spring mimosas and the church in Britanny (French Channel seaside)